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L’histoire agitée d’un géant français de l’aluminium

L’histoire agitée d’un géant français de l’aluminium

Un passé trop encom­brant. Fin jan­vi­er 2024, on appre­nait que l’entreprise Alteo, leader mon­di­al de pro­duc­tion d’alumines, s’était vu noti­fi­er sa mise en exa­m­en trois mois plus tôt par le tri­bunal de Mar­seille, dans le cadre de l’affaire des “boues rouges”. De son passé indus­triel glo­rieux à son rachat par le guinéen UMS en 2021, en pas­sant par ce vaste scan­dale envi­ron­nemen­tal, enquête sur l’un des fleu­rons de l’industrie française.

Par Blan­dine Garot, jour­nal­iste tran­si­tion écologique

Pub­lié le 7 octo­bre 2021 • Mis à jour le 24 novem­bre 2023

Temps de lec­ture : 8 min

“Cette délo­cal­i­sa­tion est le pire des scé­nar­ios
qui pou­vait se pro­duire”

Anno­ta­tion, légende, texte com­plé­men­taire

Une dernière remar­que

Sur un nuanci­er, il y a le rouge carmin, ou encore le rouge car­di­nal, mais en Provence, il y a aus­si le rouge “Alteo”. A l’abri des regards, au som­met de la colline de Mange-Gar­ri, entre Mar­seille et Aix-en-Provence, on a l’impression d’avoir été télé­porté sur Mars. Ce qui frappe immé­di­ate­ment, ce sont ces ter­res rouges en plein milieu de deux val­lons. Rien n’est naturel, tout est issu de la main de l’Homme. Cette terre, ou plus juste­ment ces “boues rouges”, ne sont en réal­ité que des déchets indus­triels pro­duits par l’usine en con­tre-bas : Alteo. Ou “Péchiney”, comme les anciens aiment encore à la nom­mer.

Niché en plein cœur de la petite ville de Gar­danne, dont les rues et les façades des immeubles sont elles aus­si tein­tées par cette pous­sière rouge per­sis­tante, se trou­ve ce fleu­ron de l’industrie française. Aux mains du groupe français Péchiney jusqu’en 2003, elle est la plus anci­enne usine d’alumine au monde. De 1894, date de sa créa­tion, jusqu’à tout récem­ment, mars 2022, elle broy­ait et trans­for­mait en son sein chaque année des mil­lions de tonnes de baux­ite rouge importée de Guinée, l’un des pre­miers pays expor­ta­teurs.
De ce min­erai rouge, riche en fer, Alteo en extrayait l’oxyde d’aluminium, qu’il trans­for­mait ensuite en alu­mines, et plus pré­cisé­ment en alu­mine de spé­cial­ité. Con­traire­ment à l’alumine métal­lurgique qui sert à pro­duire tout sim­ple­ment de l’aluminium, l’alumine de spé­cial­ité, dont cette entre­prise se revendique être le leader mon­di­al, entre dans la fab­ri­ca­tion de dif­férents pro­duits allant des ver­res spé­ci­aux (écrans LCD, smart­phones,…), aux bat­ter­ies élec­triques, en pas­sant par les gilets pare-balles ou la céramique. Entre autres.

Mais le nom d’Alteo reste aujourd’hui étroite­ment lié au “scan­dale des boues rouges”, qui défraye la chronique depuis plusieurs décen­nies. Et dont la mise en exa­m­en de l’entreprise en octo­bre 2023, soit plus de cinq ans après l’ouverture d’une infor­ma­tion judi­ci­aire pour “mise en dan­ger de la vie d’autrui”, vient écrire le dernier épisode d’un long feuil­leton. “On espère désor­mais que la jus­tice nous don­nera rai­son et per­me­t­tra d’en finir avec ce type de crime indus­triel”, réag­it auprès de Noveth­ic Sébastien Bar­les, adjoint au maire de Mar­seille chargé de la Tran­si­tion écologique, qui s’était forte­ment mobil­isé au côté de l’eurodéputée Michèle Rivasi, récem­ment décédée.

Mais le nom d’Alteo reste aujourd’hui étroite­ment lié au “scan­dale des boues rouges”, qui défraye la chronique depuis plusieurs décen­nies. Et dont la mise en exa­m­en de l’entreprise en octo­bre 2023, soit plus de cinq ans après l’ouverture d’une infor­ma­tion judi­ci­aire pour “mise en dan­ger de la vie d’autrui”, vient écrire le dernier épisode d’un long feuil­leton. “On espère désor­mais que la jus­tice nous don­nera rai­son et per­me­t­tra d’en finir avec ce type de crime indus­triel”, réag­it auprès de Noveth­ic Sébastien Bar­les, adjoint au maire de Mar­seille chargé de la Tran­si­tion écologique, qui s’était forte­ment mobil­isé au côté de l’eurodéputée Michèle Rivasi, récem­ment décédée.

Une histoire tâchée de rouge

Mais le nom d’Alteo reste aujourd’hui étroite­ment lié au “scan­dale des boues rouges”, qui défraye la chronique depuis plusieurs décen­nies. Et dont la mise en exa­m­en de l’entreprise en octo­bre 2023, soit plus de cinq ans après l’ouverture d’une infor­ma­tion judi­ci­aire pour “mise en dan­ger de la vie d’autrui”, vient écrire le dernier épisode d’un long feuil­leton. “On espère désor­mais que la jus­tice nous don­nera rai­son et per­me­t­tra d’en finir avec ce type de crime indus­triel”, réag­it auprès de Noveth­ic Sébastien Bar­les, adjoint au maire de Mar­seille chargé de la Tran­si­tion écologique, qui s’était forte­ment mobil­isé au côté de l’eurodéputée Michèle Rivasi, récem­ment décédée.

Dans cette affaire, Alteo est accusé d’avoir déver­sé entre 2016 et 2021 en plein cœur du parc nation­al des Calan­ques, un efflu­ent indus­triel lour­de­ment chargé en sub­stances tox­iques et en métaux lourds. Mal­gré plusieurs arrêtés pré­fec­toraux autorisant l’entreprise à déroger tem­po­raire­ment aux seuils de tox­i­c­ité, l’enquête a mis au jour plus d’une soix­an­taine d’infractions, car l’entreprise est allée bien au-delà, comme l’ont révélé les con­trôles inopinés. A l’origine de cette mise en exa­m­en, il y a une plainte déposée par des riverains et des asso­ci­a­tions envi­ron­nemen­tales, comme ZEA. Olivi­er Dubuquoy, fon­da­teur de cette asso­ci­a­tion et auteur du doc­u­men­taire “Zone Rouge, la pol­lu­tion qui ne se voit pas”, déplore auprès de Noveth­ic le “per­mis de pol­luer” que l’Etat a accordé pen­dant des années à l’entreprise. “Année après années, Alteo a été autorisé à con­tourn­er les normes envi­ron­nemen­tales inter­na­tionales“, s’indigne ce lanceur d’alerte. “Entre 1966 et 2016, avec l’indulgence de l’Etat et mal­gré les dénon­ci­a­tions des défenseurs de l’environnement et les alertes des sci­en­tifiques, l’usine de Gar­danne, a rejeté en mer près de 30 mil­lions de tonnes de boues”, s’exaspère Marine Cal­met, la prési­dente de l’association Wild Legal. Car cette extrac­tion indus­trielle obtenue à par­tir du procédé Bay­er, pro­duit autant de déchets que d’alumines. Chaque tonne d’alumine pro­duite génère ain­si une tonne à une tonne et demie de résidus, com­muné­ment appelés “boues rouges”, dont on ne sait quoi faire.

Dis­séminées au départ à droite à gauche dans les val­lons aux alen­tours, comme à Mange-Gar­ri et à Bouc-Bel-Air, elles devi­en­nent de plus en plus encom­brantes, “en rai­son notam­ment de l’augmentation con­sid­érable de la pro­duc­tion dès les années 1960“, explique à Noveth­ic Philippe Mioche, pro­fesseur émérite d’histoire con­tem­po­raine des tech­niques et de l’industrie à l’université Aix-Mar­seille I. Il fal­lait donc voir plus grand. Une solu­tion a été trou­vée en 1966 par le pre­mier pro­prié­taire de l’usine : le rejet de ses déchets en mer grâce à une con­duite (aus­si appelée “sea-line”) par­courant tout le ter­ri­toire depuis Gar­danne jusqu’aux calan­ques de Port-Miou à Cas­sis, sur plus de 50 kilo­mètres. Mais en jan­vi­er 2016, en rai­son de l’application de la Con­ven­tion de Barcelone sur la pro­tec­tion de la mer Méditer­ranée, Alteo a été con­traint de renon­cer à y envoy­er ses boues rouges. Seuls ses efflu­ents liq­uides ont con­tin­ué d’y être déver­sés, tan­dis que la par­tie solide de ses déchets étaient à nou­veau stock­és sur le site de Mange-Gar­ri. Au grand dam des riverains.

Les torts sem­blent toute­fois partagés puisque l’entreprise a été maintes et maintes fois accusée de “jouer la mon­tre”, comme nous l’explique Bernard Bar­raqué, directeur de recherch­es émérite au CNRS et pro­fesseur à AgroParis­Tech. “On avait beau­coup de mal à savoir si Alteo pou­vait être rentable ou non, donc ils ont évidem­ment joué la mon­tre pour essay­er de sauver l’entreprise telle qu’elle était, tout en faisant le min­i­mum de travaux”. “Il y a eu des mil­lions d’euros d’investissements qui ont été faits pour qu’il n’y ait plus de résidus de baux­ite dans l’eau”, indique Cyrille Mounier, délégué général d’Aluminium France. “La qual­ité de l’eau s’était d’ailleurs net­te­ment améliorée, on par­tait de très très loin mais ce n’était pas encore sat­is­faisant”, nous con­fie-t-il. Pour ce spé­cial­iste de l’aluminium, on avait mal­gré tout affaire avec Gar­danne à “l’usine d’alumine vraisem­blable­ment la plus ‘clean’ du monde”.

La face cachée d’UMS

Alteo est désor­mais ren­tré dans les clous. Elle ne pol­lue plus…en France. Dans une note, l’association Surf Rid­er s’interrogeait dès 2021 sur les réper­cus­sions que pour­rait avoir le rachat d’Alteo par l’industriel Unit­ed Min­ing Sup­ply, et notam­ment “la délo­cal­i­sa­tion d’une par­tie de son activ­ité en Guinée, pays où les normes envi­ron­nemen­tales restent moins con­traig­nantes”, peut-on notam­ment lire. Et c’est effec­tive­ment un point sen­si­ble, comme nous l’explique Cyrille Mounier. “Alors que nous aurons besoin de tou­jours plus d’aluminium, et ce peu importe le scé­nario, il est dans l’intérêt des indus­triels d’être de plus en plus regar­dant sur les normes pour avoir une baux­ite ou une alu­mine qui aient le moins d’impact sur l’environnement, la bio­di­ver­sité ou les pop­u­la­tions”.

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Les entre­pris­es se trans­for­ment pour répon­dre à l’urgence cli­ma­tique et à la quête de sens de leurs salariés. “La RSE devient un sujet de per­for­mance et d’efficacité pour les entre­pris­es”, soulig­nait même le patron du Medef, Geof­froy Roux de Bézieux l’année dernière. “Une entre­prise qui ne met pas la RSE au cœur de sa poli­tique de ressources humaines attire peu ou pas de tal­ents”, pour­suiv­ait-il. Si cer­tains métiers comme respon­s­able des achats ou encore ana­lyste financier doivent s’adapter pour mieux inté­gr­er les enjeux soci­aux et cli­ma­tiques à leurs postes, d’autres dits “à impact” vont con­naître une forte atten­tion en 2022, prédit le cab­i­net Bird­eo, spé­cial­isé dans le développe­ment durable et l’impact. Il iden­ti­fie cinq postes à impact les plus recher­chés par les entre­pris­es en 2022.

Définition ou remarque annexe

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Titre de la vidéo

Alteo est désor­mais ren­tré dans les clous. Elle ne pol­lue plus…en France. Dans une note, l’association Surf Rid­er s’interrogeait dès 2021 sur les réper­cus­sions que pour­rait avoir le rachat d’Alteo par l’industriel Unit­ed Min­ing Sup­ply, et notam­ment “la délo­cal­i­sa­tion d’une par­tie de son activ­ité en Guinée, pays où les normes envi­ron­nemen­tales restent moins con­traig­nantes”, peut-on notam­ment lire. Et c’est effec­tive­ment un point sen­si­ble, comme nous l’explique Cyrille Mounier. “Alors que nous aurons besoin de tou­jours plus d’aluminium, et ce peu importe le scé­nario, il est dans l’intérêt des indus­triels d’être de plus en plus regar­dant sur les normes pour avoir une baux­ite ou une alu­mine qui aient le moins d’impact sur l’environnement, la bio­di­ver­sité ou les pop­u­la­tions”.

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Titre de l’audio

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